Jeanne Chauvat, finaliste du concours “Ma thèse en 180 secondes”

“Ma thèse en 180 secondes” permet aux doctorants de présenter leur sujet de recherche, en français et en termes simples, à un auditoire profane et diversifié. Chaque étudiant ou étudiante doit faire, en trois minutes, un exposé clair, concis et néanmoins convaincant sur son projet de recherche. Le tout avec l’appui d’une seule diapositive !
Ce concours s’inspire de Three minute thesis (3MT®), conçu à l’Université du Queensland en Australie.
Le concept a été repris en 2012 au Québec par l’Association francophone pour le savoir (Acfas) qui a souhaité étendre le projet à l’ensemble des pays francophones.

Pour la 10e édition de la compétition, l’IPBS a compté, pour sa première participation, 4 candidates dont trois sont parvenues en finale régionale (Léa Fromont, Marine Hernandez et Madeleine Bossaert) et une (Jeanne Chauvat) est parvenue en finale nationale. Jeanne avait déjà reçu le prix du public et le prix des lycéens lors de la finale régionale à Toulouse. La finale nationale s’est tenue à l’Opéra de Rennes le 8 juin.
Au sein de l’équipe “Deciphering and Drugging DNA Repair ” dirigée par Sébastien Britton, Jeanne travaille sur les interactions moléculaires entre deux protéines, Ku et WRN, impliquées dans la réparation de l’ADN et dont la compréhension pourrait permettre le développement de nouvelles thérapies contre le cancer.

Jeanne Chauvat, finaliste du concours “Ma thèse en 180 secondes”